La prévention – Le sexisme dans la recherche cardiovasculaire chez les femmes

Le sexisme dans la recherche cardiovasculaire signifie qu’on méconnaît souvent la crise cardiaque chez les femmes.

Les femmes sont plus susceptibles que les hommes de mourir d’une crise cardiaque. Le Professeur Claire MOUNIER-VEHIER en a fait son combat. Avec son accord nous relayons le contenu de certains de ses derniers posts sur Instagram. Ses conseils…

« Chez les femmes, les premiers signes de l’infarctus peuvent être différents de ceux des hommes dans près de la moitié des cas avant 65 ans : une sensation d’épuisement ou de grande fatigue, un essoufflement progressif à l’effort, une oppression brutale dans la poitrine, une douleur aiguë dans le haut du dos, entre les omoplates ou dans le cou, des palpitations, des sueurs froides, des symptômes digestifs récurrents : nausées, gêne ou brûlure gastrique… 

Ne vous affolez pas non plus pour une simple fatigue, mais soyez particulièrement vigilante lorsque vous cumulez plusieurs facteurs de risque cardio-vasculaire : tabac, stress, inactivité physique, hypertension artérielle, diabète, cholestérol… 

Si vous avez un doute, parlez-en votre médecin ou appelez le 15. N’hésitez pas à mettre cette affiche partout où vous pouvez. 

Nous vous la proposons en accès libre, en téléchargement en cliquant sur l’affiche ?

Tous ensemble, sauvons des vies ! »

Cliquez ici pour visionner l’interview du Professeur Claire Monier-Vehier sur les symptômes de l’infarctus chez les femmes («Le big bang du Figaro » 8 décembre 2023)